Gouvernance

Gouvernance

Le SDIS est dirigé par une double autorité :

D’une part, une autorité opérationnelle exercée par le préfet des Hautes-Pyrénées et les maires dans le cadre de leurs pouvoirs de police respectifs.

Rodrigue FURCY

Préfet des Hautes-Pyrénées

Site internet de la Préfecture des Hautes-Pyrénées : www.hautes-pyrenees.gouv.fr

D’autre part une autorité administrative exercée par le Conseil d’administration du SDIS des Hautes-Pyrénées (CASDIS).

Le CASDIS est composé de conseillers départementaux, de maires et d’élus des établissements publics de coopération intercommunaux (EPCI). Le président du Conseil départemental des Hautes-Pyrénées Monsieur Michel PELIEU est, de droit, président du CASDIS et a désigné Monsieur Bernard POUBLAN, Conseiller Départemental, Président du Conseil d’Administration du Service Départemental d’Incendie et de Secours des Hautes-Pyrénées.

Site internet du Département des Hautes-Pyrénées : www.hautespyrenees.fr

Le service départemental

Le service départemental d’incendie et de secours des Hautes-Pyrénées, implanté dans l’ensemble du territoire.

Le SDIS des Hautes-Pyrénées défend un territoire à dominante montagneuse (57% de communes de montagne) et où la fréquentation touristique est relativement élevée (+19% de population en moyenne sur l’année).
Il dispose d’un réseau de 29 centres d’incendie et de secours qui, rapporté à la superficie départementale est au niveau de la moyenne des SDIS comparables.

Le SDIS, historiquement engagé promotion du volontariat :
Enjeu crucial puisque les sapeurs-volontaires assurent ici les trois-quarts du temps passé en intervention par l’ensemble sapeurs-pompiers.

L’effectif des sapeurs-pompiers volontaires est stable depuis plusieurs années mais il est constaté une diminution de la durée moyenne d’engagement et un fort turn-over de l’effectif des sapeurs-volontaires en même temps qu’une diminution de l’engagement parmi les personnels de la fonction publique.

Complémentairement, l’effectif des sapeurs-professionnels a été augmenté de manière progressive au cours de la dernière décennie en corollaire de la réduction individuelle du temps de travail et de la volonté de la gouvernance du SDIS de progrès social (dans les Hautes-Pyrénées, contrairement à la majorité des SDIS, le temps de travail est strictement égal au temps de présence en garde).